Il existe bien un poste de douane à Sonauli entre l’Inde et le Népal, mais je suis passé à côté sans le voir. Je réalise ma bévue plus loin, en découvrant les plaques d’immatriculation népalaises dans le village de Bhairahawa. Malgré un visa en bonne et due forme, j’ai quitté l’Inde sans le tampon de sortie.
Ouzbékistan… Kazakhstan… Tadjikistan…. Fermés ! Du Kirghizstan je comptais partir à la découverte d’autres pays d’Asie centrale, mais les deux premiers sont interdits aux étrangers, à moins de s’astreindre pour raison sanitaire à une pesante et onéreuse quarantaine. Une quarantaine, c’est l’antivoyage assuré. Contact coupé, ailes repliées, jambes au repos si ce n’est pour faire les cent pas entre les murs d’une chambre d’hôtel imposée dont il faudra s’acquitter soi-même du prix.
Lorsque l’URSS se disloque en décembre 1991, la Transnistrie s’autoproclame République indépendante, au prix d’une guerre éclair contre les Forces moldaves qui fait des milliers de morts. Capitale de l’État fantôme, Tiraspol a réussi jusqu’à aujourd’hui à préserver ses frontières et son indépendance
Agoraphobes et misanthropes s’abstenir !… Voici l’Inde et voici Jaisalmer, une ville du désert dans le pays le plus peuplé du monde. Sa chaleur suffocante, ses imprévisibles foules de foires médiévales auxquelles il faut ajouter des animaux partout en liberté
On a beau avoir le virus du voyage, je suis victime collatérale de ce virus qu’il serait plus judicieux d’appeler Covid-2020. Annus horribilis…
De la Chine à l’Australie en passant par l’Afrique australe, l’Amérique latine ou la Scandinavie,…