En Arménie – for me, for me, formi-daaa-ble !…

Je viens tout juste d’arriver à Erevan et voilà qu’une babouchka aux formes aussi généreuses que son sourire m’offre un lavash encore tout chaud et croustillant qu’elle vient de sortir du four creusé dans le sol. Ce pain en forme de grande galette fine – comme dans les pays du Maghreb – est un morceau de la culture arménienne, au point d’être inscrit sur la liste du Patrimoine immatériel de l’UNESCO. Selon l’organisation, la réalisation de ce pain traditionnel permet de « renforcer les liens familiaux, communautaires et sociaux ». Il est aussi utilisé pendant l’eucharistie, et même placé sur l’épaule des jeunes mariés pour leur souhaiter prospérité et fertilité. Je repars avec ce trésor national, en me disant que je vais aimer ce pays. Les effluves soviétiquesErevan est une ville dense mais à taille humaine, comme ses voisines du Caucase. Turquie ? Iran ? Russie ?… Un beau cocktail culturel ! La ville semble avoir…

Au Népal

Il existe bien un poste de douane à Sonauli entre l’Inde et le Népal, mais je suis passé à côté sans le voir. Je réalise ma bévue plus loin, en découvrant les plaques d’immatriculation népalaises dans le village de Bhairahawa. Malgré un visa en bonne et due forme, j’ai quitté l’Inde sans le tampon de sortie.

Au Kirghizstan

Ouzbékistan… Kazakhstan… Tadjikistan…. Fermés ! Du Kirghizstan je comptais partir à la découverte d’autres pays d’Asie centrale, mais les deux premiers sont interdits aux étrangers, à moins de s’astreindre pour raison sanitaire à une pesante et onéreuse quarantaine. Une quarantaine, c’est l’antivoyage assuré. Contact coupé, ailes repliées, jambes au repos si ce n’est pour faire les cent pas entre les murs d’une chambre d’hôtel imposée dont il faudra s’acquitter soi-même du prix. 

Navigate